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dc.contributor.authorBENYAGOUB-
dc.contributor.authorBERBAOUI-
dc.contributor.authorRAHMANI-
dc.contributor.authorBENYOUSSEF-
dc.contributor.authorMOULEKHELLOUA-
dc.date.accessioned2016-11-28T08:46:54Z-
dc.date.available2016-11-28T08:46:54Z-
dc.date.issued2016-11-28-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/12747-
dc.description19eme Journees Nationales de Microbiologieen_US
dc.description.abstractIl s’agit d’une étude rétrospective menée sur la période allant du 1er Janvier 2012 au 31 Décembre 2012 au laboratoire de microbiologie de l’EPH Tourabi Boudjemaa 240Ldont le but à étudier l’évolution des infections uro-génitales chez la femme, cas de la région de Bechar (Algérie). Des examens cytobactériologiques des pertes ont été effectués. Le traitement des donnés a permis d’établir la fréquence d’isolement des agents en cause d’origine bactériennes, fongiques et/ou parasitaires. L’infection a été biologiquement affirmée par l'isolement sur milieux sélectifs de l'agent pathogène d'origine bactérien et/ou fongique, et un examen microscopique pour les espèces parasitaires. La répartition de la fréquence d’infection urogénitale a montré que l’espèce Staphylococcus aureus était l’agent responsable dans plus de 36% des infections, suivi par les staphylocoques à coagulase négative et Candida albicans avec un taux de 23,42 et 21,62% respectivement. Un taux près de 10% a été révélé pour l’espèce Escherichia coli et moins de 3% pour les Streptococcus agalactiae et Trichomonas vaginalis. Les autres agents infectieuxprésentaient un taux plus faible, moins de 2% dont les espèces isolées étaient « Pseudomonas aeruginosa, Serratia sp et Citrobacter sp ». Les résultats obtenus montrent que l’espèce Staphylocoque doré vient en tête, ainsi que Candida albicans qui est responsable des infections d’origine fongique. Cependant les infections sexuellement transmise d’origine bactérienne et/ou parasitaire n’arrivent qu’au dernier et présentaient moins de 3% des infections. Les staphylocoques à coagulase négative opportunistes sont aussi isolés et peuvent constituer un problème d’anti-biorésistance en cas d’utilisation excessive ou inadéquate des antibiotiques.Une thérapie optimale pourra minimiser les récurrences, les complications ainsi que l’émergence de la résistance.en_US
dc.subjectInfection uro-génitaleen_US
dc.subjectECB des pertesen_US
dc.subjectfréquence d’isolementen_US
dc.subjectantibiorésistanceen_US
dc.subjectBecharen_US
dc.titleFREQUENCE D’ISOLEMENT ET CARACTERISATION DES MICROORGANISMES RESPONSABLES D’INFECTION URO-GENITALE CHEZ LA FEMMEen_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:5. Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie

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