Please use this identifier to cite or link to this item: https://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/10290
Full metadata record
DC FieldValueLanguage
dc.contributor.authorKrami Faiçal-
dc.contributor.authorKrami Djamel-
dc.date.accessioned2015-03-
dc.date.available2015-03-
dc.date.issued2015-03-
dc.identifier.issn2170-1121-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/10290-
dc.descriptionRevue des Sciences Sociales et Humainesen_US
dc.description.abstractAu 20ème siècle et surtout après l’indépendance, le M’zab a connu un changement politique et socio-économique, dû essentiellement à la découverte de nouvelles ressources d’eau et d’énergie, qui a engendré une rupture d’un équilibre millénaire entre la nature et le cadre bâti. La vallée a totalement changé par une croissance urbaine anarchique et accélérée au détriment de la palmeraie. La pentapole du M’zab (cinq ksour), est devenue une seule agglomération. Les extensions dans la vallée ont pour origine, d’une part un glissement de la population de majorité ibadite de ksar vers des terrains en contrebas (quartier Baba Saad,…), d’autre part l’insertion des populations malikites venues de l’extérieur et de la fixation des nomades (quartier Thénia, El-ain lobou,..). D’où, la naissance de la ségrégation sociale entre deux communautés habitant des quartiers juxtaposés. Chacun d’eux est identifié par son minaret architecturalement spécifique. La saturation de la vallée, par la suite, a incité les pouvoirs publics à occuper les plateaux en dehors de la vallée (Bouhraoua, Noumerat, Oued nechou, Hamrayat, Tafelalet, Iaumed…). Néanmoins, ces sites sont urbanisés d’une manière à renforcer encore la ségrégation sociale au lieu de la mixité sociale. En effet, Cette absence de la mixité sociale dans l’urbanisation de la ville de Ghardaïa et par conséquence dans les institutions de la socialisation notamment (écoles et mosquées), a accentué l’appartenance au quartier « Houma » et a diminué la cohésion sociale entre les quartiers de la ville. Le système social traditionnel efficace pour des petites communautés, s’avère inadapté pour une grande agglomération qui nécessite une cohabitation basée sur la citoyenneté. Les derniers événements ont montré à quel point la ville de Ghardaïa est fragile socialement malgré les programmes énormes de développement réalisés par les pouvoirs publics. La question posée actuellement à Ghardaïa, Comment peut-on assurer la mixité sociale et urbaine dans le cadre d’une approche globale et participative, tout en respectant les spécificités culturelles de la société locale ?en_US
dc.language.isofren_US
dc.relation.ispartofseriesnuméro 22 SSH;-
dc.subjectpratiques urbainesen_US
dc.subjectidentités socialesen_US
dc.subjectmixité socialeen_US
dc.subjectcohésion socialeen_US
dc.subjectappartenanceen_US
dc.subjectHoumaen_US
dc.subjectcitoyennetéen_US
dc.titleLa ville de Ghardaïa, Entre pratiques urbaines et identités socialesen_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:numéro 22 SSH 2015

Files in This Item:
File Description SizeFormat 
SSP2208F.pdf217,59 kBAdobe PDFView/Open


Items in DSpace are protected by copyright, with all rights reserved, unless otherwise indicated.