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dc.contributor.authorNASROUN Nacéra-
dc.contributor.authorBELATTAF Matouk-
dc.date.accessioned2016-05-23T14:52:41Z-
dc.date.available2016-05-23T14:52:41Z-
dc.date.issued2016-05-23-
dc.identifier.issn2353-0227-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/10444-
dc.descriptionRevues scientifique de l'économie et de l'environnement natureen_US
dc.description.abstractL’activité d’innovation revêt une dimension stratégique étant donné qu’elle détermine la capacité de l’organisation à surpasser ses concurrents et à maintenir sa place dans les marchés locaux, régionaux et internationaux (Boly V., 2004, P21). En effet, l’innovation permet à l’entreprise de déjouer les menaces en les transformant en opportunités, et permet aussi de maintenir et d’élever la compétitivité des firmes (Soparnot R. et Stevens E, 2007). Le poids de l’innovation dans l’économie s’avère indéniable, ce qui se traduit au niveau des firmes et au niveau des pays par une prise en compte croissante des facteurs déterminants des activités d’innovation. L’innovation est considérée comme une capacité organisationnelle. En effet, elle mobilise différentes ressources (les relations au sein du réseau, la créativité des individus, les informations, les technologies, les ressources financière) et les met en relation par des processus de gestion (les processus de développement et de sélection des idées, la communication, les réunions d’échanges) en vue de produire un renouvellement ou amélioration de l’offre ou des procédés de la firme. L’innovation consiste donc à assurer la combinaison d’une variété de ressources internes et externes. Les entreprises de l’industrie agroalimentaire doivent faire face aujourd’hui à de nombreux défis en termes de compétitivité et de renouvellement des produits. L’objectif de cet article est de savoir si les entreprises agroalimentaires de Bejaia arrivent à innover et quels sont les facteurs qui conditionnent les activités d’innovation. L’étude a révélé que les variables déterminantes en matière d’innovation dans les entreprises agroalimentaires semblent relever plutôt d’un comportement individuel et isolé en la personne du patron-dirigeant. Les autres variables (fonction R&D, mécanisme de valorisation et de transfert des connaissances, pratique de gestion des ressources humaines, la formation, financement des activités) ne sont pas apparus comme déterminantes dans les activités d’innovation. Enfin, nous pouvons signaler que la notion de réseau d’innovation, une structure de coordination qui implique des agents appartenant à des organisations différentes (firmes, université, centres de recherche) pendant la durée d’un projet d’innovation, n’a pas la moindre existence dans notre cas. Souvent les règles de coordination entre firmes des pays développés visent à favoriser l’échange des ressources nécessaires à l’innovation telles que les échanges de connaissances qui se réalisent par des relations de coopération, des arrangements contractuels ou les marchés de la connaissance.en_US
dc.language.isofren_US
dc.relation.ispartofseriesN 02 /2015;-
dc.subjectEntrepreneuriaten_US
dc.subjectinnovationen_US
dc.subjectPMEen_US
dc.subjectdéterminantsen_US
dc.subjectsecteur agroalimentaireen_US
dc.subjectBéjaïaen_US
dc.titleL’entrepreneuriat et l’innovation : les facteurs stimulant l’innovation dans les PME du secteur agroalimentaire de Béjaia.en_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:Numéro 02 Jan 2015

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