Please use this identifier to cite or link to this item: https://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/11440
Full metadata record
DC FieldValueLanguage
dc.contributor.authorKORICHI B-
dc.contributor.authorBELAAROUSSI MH-
dc.contributor.authorBOUAMMAR B-
dc.date.accessioned2016-10-18T10:01:20Z-
dc.date.available2016-10-18T10:01:20Z-
dc.date.issued2016-10-18-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/11440-
dc.description3ème Workshop sur l’agriculture saharienne: «‘Bilan et perspectives de développement de la pomme de terre dans les régions sahariennes’’en_US
dc.description.abstractLe présent travail à pour objectif essentiellement de mettre en lumière les causes relevant du terrain qui ont provoqué le retard et la lenteur enmatière de développement de la pomme de terre dans la Wilaya de Ouargla en comparaison à celle de Oued Souf qui est devenue une zone pilote occupant une place importante parmi les premières Wilayates productrices de cette culture. Notre travail va porter sur la base d’une série d’enquêtes effectuées auprès de 25 exploitations pour chaque Wilaya en privilégie une approche comparative entre ces 02 régions étudiées (Ouargla et Oued Souf). Un premier élément marquant les différences existantes en ces 02 régions montre que51 % des agriculteurs de la région de Ouargla ont des activités autres que l’agriculture, c'est-à-dire que la plupart d’entre eux sont prestataires auprès des compagnies hydrocarbures. Alors que la population d’agriculteurs enquêtée dans la région d’El Oued pratique dans sa totalité le grand et le petit commerce. Et considère que la production de pomme de terre comme peut être un investissement intéressent. Une autre différence à signaler dans la région de Ouargla, à savoir que 42% des agriculteurs ont un contact fréquent avec les agents de vulgarisation, contre 92,5% des agriculteurs pour la région d’El Oued. Par ailleurs, pour la Wilaya de Ouargla 61 % des agriculteurs rencontrés sur terrain ont déclaré avoir rarement un contact avec le voisinage, tandis que pour la région de Oued Souf la majorité des agriculteurs enquêtés déclare se rencontrer de manière assez fréquente, chose qui contribue à la diffusion de l’information utile et par conséquent au développement de la culture de pomme de terre. D’autre part, et toujours selon les dires des agriculteurs enquêtés dans la région de Ouargla la main-d'œuvre qualifiée ne représente que 36 %, contre 94 % pour la région de Oued Souf. Nos résultats sont discutés à la lumière des connaissances actuelles sur le développement, la recherche et la diffusion des connaissances scientifiques et techniques comme support de base pour tout développement notamment celle de la pomme de terre à l’échelle locale, régionale et nationale.en_US
dc.relation.ispartofseries;mars 2014-
dc.subjectDéveloppement de la pomme de terreen_US
dc.subjectapproche comparativeen_US
dc.subjectOuarglaen_US
dc.subjectEl Oueden_US
dc.subjectVulgarisation agricoleen_US
dc.subjectagents vulgarisateursen_US
dc.titleCulture de lapomme deterre à Ouargla: Situation actuelle et perspectives d’aveniren_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:5. Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie

Files in This Item:
File Description SizeFormat 
KORICHI B., BELAAROUSSI MH., BOUAMMAR B..pdf725,64 kBAdobe PDFView/Open


Items in DSpace are protected by copyright, with all rights reserved, unless otherwise indicated.