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dc.contributor.authorMASMOUDI, Toufik-
dc.contributor.authorYAHIAOUI, Khemissi-
dc.contributor.authorGUEGAZI, Saadia-
dc.contributor.authorACHOUR, Samia-
dc.date.accessioned2016-10-23T10:36:14Z-
dc.date.available2016-10-23T10:36:14Z-
dc.date.issued2016-10-23-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/11603-
dc.descriptionSéminaire International sur l'Hydrogéologie et l'Environnementen_US
dc.description.abstractL’objectif de notre travail est de donner une contribution à la connaissance de la réactivité du chlore vis-àvis d’une eau de surface (eau d’oued M’chounech) dans des conditions expérimentales bien contrôlées (taux de chloration fixe et variable ainsi que le temps de contact).Les résultats qui nous avons obtenus ont montré que cette eau présente un potentiel de consommation en chlore assez important. Cette consommation est corrélable à la qualité des eaux et plus particulièrement à la teneur et la nature de la matière organique telle que les substances humiques (SH),àquelques éléments minéraux ayant une réactivité importante vis-à-vis du chlore (Azote ammoniacal, Fer, Manganèse…). De même, l’évolution du chlore résiduel total en fonction du chlore introduit a enregistré une courbe connue en traitement des eaux sous ladénomination de courbe de break-point. Cette courbe se déplace vers les forts taux de chlore supérieurs au break-point théorique, qui est de 7,6. L’effet de la variation du temps de contact sur les consommations en chlore par les substances humiques(SH)contenus dans cette eau d’oued est subdivisé en deux étapes. Une étape de consommation rapide au cours des premières trente minutes, suivie d’une deuxième étape plus lente qui peut se prolonger jusqu’à plusieurs heures.en_US
dc.description.sponsorshipLes eaux naturelles et en particulier les eaux superficielles contiennent à des concentrations variées des composés organiques de structures chimiques diverses. La catégorie la plus importante correspond aux substances humiques (SH) dont les teneurs peuvent atteindre jusqu’à 90% du carbone organique total (C.O.T) d’une eau naturelle. En Algérie, le matériel humique représente souvent une part non négligeable de la charge organique totale des eaux de surface, notamment dans le cas des eaux de barrage, soit 60 à 90% du C.O.Tde ces eaux[1] ‒[ 2]. Ces substances exigent d’être éliminées car elles sont susceptibles de provoquer aussi bien des problèmes organoleptiques (couleur, goût,…) que des problèmes de santé publique par formation desproduitsàtoxicités chroniques[1].en_US
dc.relation.ispartofseriesSIHE 2013;Novembre2013-
dc.subjectEau de surfaceen_US
dc.subjectSubstances humiquesen_US
dc.subjectChlorationen_US
dc.subjectBreak-pointen_US
dc.subjectCinétiqueen_US
dc.titleÉtude de la Réactivité du Chlore Vis-à-Vis des Substances Humiques en Eaux de Surface–Cas des Eaux de Oued M’chounech, Wilaya de Biskra-en_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:4. Faculté des Hydrocarbures, des Energies Renouvelables, des Sciences de la Terre et de l’Univers

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