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dc.contributor.authorAhmed, Messaï-
dc.contributor.authorM-Cherif, Abdeldjelil-
dc.contributor.authorSaber, Beghoul-
dc.contributor.authorA-Rahmane, Bensegueni-
dc.date.accessioned2016-11-16T08:23:02Z-
dc.date.available2016-11-16T08:23:02Z-
dc.date.issued2016-11-16-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/12327-
dc.descriptionLe 2ème Séminaire International sur les Plantes Médicinales SIPM'2en_US
dc.description.abstractConnue depuis des millénaires, l’armoise a été décrite par plusieurs botanistes et a été mentionnée dans plusieurs recueils de pharmacopée traditionnelle. Plusieurs études phytochimiques ont révélé la richesse des plantes du genre Artemisia par l’artémisinine, une lactone sesquiterpène qui a été isolé pour la première fois en 1972 à partir des feuilles d’Artemisia annua. En 1993, des chercheurs de l’université du Michigan ont découvert le mécanisme d’action de l’artémisinine, son groupe peroxyde semble être la clé de son efficacité contre le parasite du paludisme. Cette découverte a encouragé les recherches pour un éventuel effet de l’artémisinine contre d’autres protozoaires. En médecine vétérinaire, Allen et al. ont prouvé en 1996 l’effet anticoccidien de l’artémisinine issue d’Artemisia annua lors d’une coccidiose chez le chez le poulet de chair. D’autres espèces d’armoise ont fait l’objet de recherches similaires. En 2006, Arab et al. ont démontré qu’Artemisia sieberi, espèce d’armoise répandue en Iran, contenait de l’artémisinine à un niveau comparable à celui d’Artemisia annua, et qu’elle pouvait diminuer la sévérité d’une coccidiose induite par Eimeria tenella et Eimeria acervulina. En 1993 Yang et Liew ont démontré pour la première fois l’effet de l’artémisinine contre une leishmaniose expérimentale induite par Leishmania major. D’autre études (Rupashree et al., 2007) ont prouvé son efficacité contre Leishmania donovani. En Algérie, l’armoise herbe blanche Artemisia herba-alba est l’espèce la plus répandue. Une étude ambitieuse est en cours de réalisation au niveau du laboratoire PADESCA au sein du département des sciences vétérinaires de Constantine. Le but est la mise en valeur des effets de cette espèce steppique pour le traitement et la prévention de la coccidiose aviaire au niveau des élevages algériens.en_US
dc.subjectarmoiseen_US
dc.subjectartémisinineen_US
dc.subjectpaludismeen_US
dc.subjectcoccidioseen_US
dc.subjectleishmanioseen_US
dc.subjectphytothérapie vétérinaireen_US
dc.titleEFFET ANTIPROTOZOAIRE DE L’ARTEMISININE : HISTORIQUE DES DECOUVERTES ET APPLICATIONS EN MEDECINE VETERINAIREen_US
dc.typeArticleen_US
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