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dc.contributor.authorDJERDALI, Sofia-
dc.contributor.authorTORTOSA, Francisco-
dc.contributor.authorDOUMANDJI, Salaheddine-
dc.date.accessioned2016-12-19T09:23:32Z-
dc.date.available2016-12-19T09:23:32Z-
dc.date.issued2016-12-19-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/12959-
dc.description2ème Séminaire International sur la Biodiversité Faunistique en Zones Semi-arides Et Aridesen_US
dc.description.abstractUn des meilleurs critères de santé d’une population qui fait l’objet de mesures de gestion est l’augmentation de ses effectifs. La dynamique de population de la Cigogne blanche dans la région des hautes plaines sétifiennes a suivi la même tendance que la population de l’Europe de l’Ouest. Après un déclin entre 1935 et 1974 où la population a diminué de près de 91%, les effectifs des couples nicheurs ont revu une hausse où le chiffre est passé de 99 couples en 1974 à 1192 en 2007. Entre 1974 et l’année 2007, cette population a vu une hausse de 84,14%.Nous avons pu remarquer qu’entre 2002 et 2007, le taux d’occupation des arbres est le plus élevé dépassant les 80% en 2007. Pour voir l’impact des structures sur lesquelles les nids sont bâtis sur le succès de reproduction de la Cigogne blanche nous avons procédé par une analyse de la variance. Les résultats ont donné un effet significatif de la nature du support sur le succès de reproduction pour l’année 2002 (F(6,594)= 4,35, P= 0,00026), avec des différences significatives entre les nids établis sur les toits, les cheminées et les châteaux d’eau et ceux établis sur les arbres, poteaux et pylônes (Test post Hoc de Tukey< 0,05). Le succès de reproduction le plus élevé est enregistré dans les nids établis sur les toits (2,31 ± 0,18, N= 22), les cheminées (2,5 ± 0,43, N= 4) et les châteaux d’eau (2,5 ± 0,86, N= 2) vu l’isolement des nids. Par contre le type de support n’avait aucun effet sur le succès de reproduction en 2003 (F(5,800)= 0,8, P= 0,54) ni en 2004 (F(8,767)= 1,75, P= 0,08), ni en 2005 (F(5, 831) = 1,64, P= 0,14).Cet essor démographique de la cigogne blanche dans la région de Sétif pourrait s’expliquer par l’amélioration du taux de survie dû à un effet combiné des améliorations de la pluviométrie sur les quartiers d’hiver tropicaux où hivernent les sujets d’Algérie et surtout de l’amélioration des conditions trophiques locales, en effet, les cigognes ayant adopté depuis quelques années les décharges d’ordures ménagères comme source de nourriture et ont été également été observées se nourrir sur les dépotoirs des déchets de la volaille qui sont en train de proliférer et notamment après 2002 dans la région de Sétif.en_US
dc.subjectDynamique de populationen_US
dc.subjectCigogne blancheen_US
dc.subjectSétifen_US
dc.subjectsuccès de reproductionen_US
dc.titleEvolution des couples nicheurs de la Cigogne blanche (Ciconia ciconia) dans la région de Sétif entre 1935 et 2007en_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:5. Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie

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