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dc.contributor.authorSMAÏ HAMDIDOUCHE, Souaâd-
dc.contributor.authorMENAD, Rafik-
dc.contributor.authorBELHOCINE, Mansouria-
dc.contributor.authorGERNIGON-SPYCHALOWICZ, Thérèse-
dc.contributor.authorKHAMMAR, Farida-
dc.contributor.authorEXBRAYAT, Jean-Marie-
dc.date.accessioned2017-01-29T08:44:14Z-
dc.date.available2017-01-29T08:44:14Z-
dc.date.issued2017-01-29-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/13367-
dc.description2eme Seminaire International sur la Biodiversite Faunistique en Zones Semi arides Et Aridesen_US
dc.description.abstractMeriones libycus femelle, de moeurs nocturnes, étudié dans la région de Béni-Abbès (sud-ouest du Sahara algérien), présente un cycle saisonnier de reproduction. L’étude des cellules gonadotropes à FSH et LH chez les femelles adultes sauvages a été réalisée en périodes de reproduction (printemps, début de l’été) et de repos sexuel (été, automne, hiver) par la coloration classique au trichrome de Cleveland et Wolfe et la technique immunohistochimique indirecte utilisant le complexe stréptavidine-biotine-peroxydase. Les cellules gonadotropes basophiles identifiées par leur immunoréactivité spécifique avec l’anticorps anti-FSH et anti-LH humain ont montré des variations cycliques et saisonnières au cours du cycle saisonnier de reproduction. En période active, et en phase de proestrus et métaoestrus, les cellules à FSH et LH sont abondantes et réparties de façon homogène sur toute la surface du lobe antérieur ; au cours du cycle oestral, une dégranulation hormonale cyclique des deux types cellulaires prédomine en proestrus. En phase de dioestrus, les cellules à FSH sont en faible abondance et se regroupent essentiellement au niveau de la région périphérique externe et des côtés latéraux ; par contre les cellules à LH semblent plus nombreuses et éparpillées au sein du lobe antérieur ; durant cette phase, les deux sortes de cellules gonadotropes montrent une prédominance de cellules avec une forte immunoexpression de LH et FSH ; il semble que ces cellules stockent les hormones durant la phase de dioestrus et les quelques cellules faiblement marquées évoqueraient une libération du produit de sécrétion afin de maintenir un certain seuil d’activité. En période de repos sexuel, une diminution apparente du nombre de cellules gonadotropes à FSH et LH a été observée ; les hormones sont accumulées dans de grosses granulations bien immunomarquées ; peu de cellules manifestent un signal faible ou moyen exprimant probablement une décharge hormonale basale dans le flux sanguin afin d’assurer un développement des follicules ovariens adéquat à cette période de quiescence. Les cellules gonadotropes à FSH et LH suivent un cycle d’activité bien corrélé avec les variations saisonnières de la fonction ovarienne chez Meriones libycus femelle.en_US
dc.subjectImmunohistochimieen_US
dc.subjectCellules gonadotropesen_US
dc.subjectFSH et LHen_US
dc.subjectVariations saisonnièresen_US
dc.subjectrongeur déserticoleen_US
dc.titleÉtude immunohistochimique des cellules gonadotropes à FSH et LH chez Meriones libycus femelle, rongeur déserticole, gerbillidé, au cours du cycle saisonnier de reproductionen_US
dc.typeArticleen_US
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