EFFICACITE DES ANCIENNES METHODES DE RENFORCEMENT DE CHAUSSEES DANS LES ZONES ARIDES (CAS DE LA RN 56)

Abstract

Les infrastructures routières de bonne qualité sont un facteur clé de succès pour le développement économique et social d’un pays. A l’instar des régions arides du monde, le sud algérien connaît de sérieux problèmes des dégradations des chaussées. Ces derniers que résultent des plusieurs cause tel que la sévérité des conditions climatiques, Fatigue du revêtement (trafic lourd)…etc. chaque année un programme de travaux de renforcement est lancé par le secteur des travaux publics basé sur les deux principaux facteurs suivant : l’état de surface de la chaussée, la portance résiduelle du corps de chaussées. Les corps de chaussées de l’ensemble des routes dans le sud est composé par un structure semi-rigide, dont la majorité des cas présent des dégradations au jeune âge qui se traduit par l’apparition de fissures en surface de chaussée qui dans un premier temps, ne perturbent pas nécessairement le fonctionnement de la structure. Mais il est bien évident que sous l’action de différents paramètres l’état structurel va se dégrader dans le temps sans même avoir reçu le nombre de mouvement prévu dans l’étude de dimensionnement. Donc la durabilité de ces structures est essentiellement liée au temps de remontée des fissures de retrait des couches sous-jacentes constituées à base de matériaux locaux. La mise au point de solution limitant le phénomène de remontée des fissures le renforcement de chaussée par un couche d’enrobe ouvert à froid à l’émulsion. La direction de travaux publique de la wilaya d’Ouargla s’évalue l’efficacité de cette technique de renforcement sur vingt-huit kilomètre de la route nationale N° 56. L’objectif de cette présent communication est de résume l’historique de cette méthode de renforcement et présente la synthèse des résultats du suivi de comportement de cette technique après six mois de la mise en service de la chaussée renforcé.