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dc.contributor.authorREMINI, Boualem-
dc.contributor.authorTOUMI, Abdelouaheb-
dc.date.accessioned2017-06-19T08:28:13Z-
dc.date.available2017-06-19T08:28:13Z-
dc.date.issued2017-06-19-
dc.identifier.issnsa-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/14273-
dc.descriptionالملتقى الدولي الثاني حول: الموارد المائية'' تقييم و إقتصاد وحماية'' یومي الاثنین والثلاثاء 21 و22 دیسمبر 2016en_US
dc.description.abstractLes barrages algériens se trouvent exposés à certains problèmes hydrauliques entre autres l’évaporation intense, les fuites d’eau et l’envasement. L’envasement est le problème le plus dramatique de tous les problèmes que rencontrent les réservoirs de barrages. Cependant, la non maîtrise du phénomène, aux échelles du bassin versant et de la digue, aggrave rapidement l’état initial de la cuvette de l’ouvrage et, dans certains circonstances, peut renverser les volumes initiaux de la retenue où le volume mort devient utile est inversement. Les barrages algériens sont également exposés au problème d’envasement. en effet, les cent (74) barrages disséminés à travers le pays reçoivent annuellement plus de 50 millions de m 3de vase (ANBT). Le barrage des Zardezas situé à 350 Km à l’Est d’Alger est l’un des barrages algériens fortement menacés par ce problème. L’envasement accéléré de la cuvette de ce barrage en combinaison avec la demande croissante en eau, de tous les secteurs consommateurs de la région, a conduit les services concernés de l’an 1971 à l’an 1974 a effectué une surélévation de sa digue pour augmenter sa capacité de stockage et par conséquent subvenir la demande en eau. Cette nouvelle capacité n’a résisté, au taux élevé de vase, que certaines années et le recours au dragage de la cuvette a était choisi comme solution. Les deux solutions choisies (la surélévation et le dragage) ont donné des résultats encourageants, mais au cours du temps ces résultats ont perdu de leurs efficacités à cause d’énormes quantités de vase entrantes à la cuvette du barrage des Zardezas et l’apparition des crues répétitives, mesurées à chaque fois à l’évacuateur de crues situé à la digue, quand la pluie atteint, à chaque fois, un seuil donné. Le suivi au cours du temps des quantités d’eau perdues, par les phénomènes d’évaporation et de fuites, permet de dire que la surélévation de la digue effectuée augmenterait la surface immergée et par conséquent la quantité d’eau perdue par évaporation alors que la fluctuation des fuites d’eau est minimale à cause des sérieux travaux d’étanchéité effectués, au niveau des appuis et à la fondation de la digue, lors de la surélévation.en_US
dc.description.sponsorshipTOUMI Abdelouaheben_US
dc.language.isofren_US
dc.relation.ispartofseries2016;-
dc.subjectBarrageen_US
dc.subjectAlgérieen_US
dc.subjectZardezasen_US
dc.subjectEnvasementen_US
dc.subjectsurélévationen_US
dc.subjectdévasementen_US
dc.subjectÉvaporationen_US
dc.subjectFuites d’eauen_US
dc.titlePerte de capacité de stockage au barrage des Zardezas, Algérieen_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:3. Faculté des sciences appliquées

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