Time and Immortality in William Shakespeare’s Sonnets

Abstract

Cet article examine la notion de temps dans les sonnets de William Shakespeare qui s'adressent à un jeune homme qui jouit d'un haut prestige dans les 126 premiers sonnets. Le temps, pour le poète, est l'archi-ennemi qui brise la force fédérateur de l'amour. C'est le principal dévoreur de la beauté qui apporte des alternances, de la désintégration et l'événement tragique de la mort. De son immense amour amical et platonicien pour la jeunesse, comme le montre le document, le poète essaie de trouver des moyens d'obtenir l'immortalité pour combattre le pouvoir destructeur du temps qui détruit et dilapide tout. Mon humble article montre la réactivité de Shakespeare au temps et comment il permet aux jeunes de laisser des traces de ses qualités resplendissantes, y compris la beauté, et comment il lui permet de rester vivant dans les esprits et les cœurs d'autrui, même après la mort.