Please use this identifier to cite or link to this item: https://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/19704
Full metadata record
DC FieldValueLanguage
dc.contributor.advisorIDDER Mohamed, Azzedine-
dc.contributor.authorBENAMEUR-SAGGOU, Hayet-
dc.date.accessioned2018-11-19T09:00:10Z-
dc.date.available2018-11-19T09:00:10Z-
dc.date.issued2018-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/19704-
dc.descriptionSciences Agronomiquesen_US
dc.description.abstractUtilisation de Pharoscymnus ovoideus et Pharoscymnus numidicus (Coleoptera-Coccinellidae) dans une tentative de lutte biologique contre Parlatoria blanchardi (Homoptera-Diaspididae) dans les palmeraies à Ouargla (Sud-est algérien) Résumé Notre étude concernant la lutte biologique contre la cochenille blanche Parlatoria blanchardi par l'utilisation de deux coccinelles coccidiphages Pharoscymnus ovoideus et Pharoscymnus numidicus a fait appel à plusieurs démarches. L'un inventaire faunistique et floristique des deux sites d'étude, la palmeraie de Mekhadema(S1) et l'exploitation de l'université de Ouargla (S2) nous a permis de recenser 33 espèces floristiques et 47 espèces faunistiques en (S1) alors 12 espèces floristiques et 21 espèces faunistiques ont été inventoriées en (S2). Une prédominance a été notée pour les phytophages et les zoophages sur les deux sites d'étude avec l'existence des chaînes de détritus en (S1). L'entretien et la richesse floristique d'un biotope contribuent à sa diversité et son équilibre. Dans la région d'Ouargla, la cochenille blanche Parlatoria blanchardi présente trois générations dont la plus importante est la génération printanière. L'estimation du taux d'infestation de ce ravageur, nous a permis de constater que le site d'étude(1) est plus infesté que le site 2 et le cultivar Deglet-Nour présente des taux d'infestation plus élevés par rapport à Ghars. Les facteurs microclimatiques caractérisant chaque station contribuent à ces taux d'infestations par la cochenille blanche. L'étude de l'effet de la composition chimique(N, Ca, Mg, K, P, Na, sucres totaux et teneur en eau) et la structure morphologique et histologique des folioles sur le tauxd'infestation par la cochenille blanche montre que le cultivar Ghars présente un rapport cationique (K/Ca+Mg) plus important qui contribue à ce cultivar une résistance contre le ravageur contrairement à Deglet-Nour riche en Mg. Les coupes histologiques montrent aussi une rigidité de l'épiderme du Ghars favorisant une résistance contre ces homoptères. L'inventaire de la faune associée à la cochenille blanche a permis de recenser 16 espèces appartenant à 02 classes, 06 ordres et 11 familles. L'analyse écologique des espèces inventoriées a montré que les fréquences centésimales les plus élevées sont enregistrées pour Cybocephalus seminillum, Camponotus sp., Pharoscymnus ovoideus et Pharoscymnus numidicus avec des pourcentages respectivement de 14,97; 13,53; 12,70 et 11,57. Les fréquences d'occurrence des deux espèces retenues pour la lutte biologique Pharoscymnus ovoideus et Pharoscymnus numidicus sont respectivement 56,94 % et 50,69% sur Deglet-Nour et 55,55 % et 52,08 % sur Ghars. Ces deux espèces sont régulières. La diversité des pieds des cultivars Deglet-Nour et Ghars par cette faune associée est assez importante et elle est en état d'équilibre. La durée des cycles biologiques des deux coccinelles coccidiphages étudiées à savoir P. ovoideus et P. numidicus sous trois degrés de température (24 °C, 26 °C et 28 °C) est inversement corrélée avec ce paramètre. À 28 °C, P. ovoideus a achevé son cycle en 34,5±1,76jours et P. numidicus en 37,4±0,98jours. Les deux espèces de coccinelles présentent deux générations annuelles, une génération printanière (plus importante) et une génération automnale. L'étude de la voracité montre que P. ovoideusest plus vorace que P. numidicus. Elledévore une moyenne de 26,59 individus / 24h de cochenilles du cultivar Ghars et 27,08 individus de cochenilles de cultivar Deglet-Nour. Les femelles sont plus voraces que les mâles pour cette espèce.Il est à signaler que ces espèces ne présentent aucune préférence alimentaire vis-à-vis des cochenilles blanches des deux cultivars étudiés. La tentative de lutte biologique par des lâchers de P. ovoideus et P. numidicus sur le cultivar Deglet-Nour par deux doses (30 et 120 coccinelles / arbre) a montré que les deux coccinelles présenté une efficacité qui est corrélée positivement avec le nombre de coccinelles lâchées. L'espèce P. ovoideus est toujours plus vorace par rapport à P. numidicus avec un taux de prédation de 32,40 %. La forte dose est la plus significative de point de vue diminution de l'infestation par la cochenille blanche.en_US
dc.description.abstractUse of Pharoscymnus ovoideus and Pharoscymnus numidicus (Coleoptera-Coccinellidae) in an attempt at biological control against Parlatoria blanchardi (Homoptera-Diaspididae) in palm groves of Ouargla (South-eastern Algeria) Abstract Our study on the biological control against white scale Parlatoria blanchardi by the use of two ladybird's coccidiphagousPharoscymnus ovoideus and Pharoscymnus numidicus appealed several steps. The inventory of the flora and fauna composition of the two study sites, the palm grove of Mekhadema (S1) and the exploitation of the University of Ouargla (S2) allowed us to identify 33 floristic species and 47 faunistic species were recorded in (S1), while 12 floristic species and 21 faunistic species were inventoried in (S2). Predominance was noted for phytophagous and zoophagous on both study sites with the existence of detritus chains in (S1). The maintenance and the floristic richness of a biotope contribute to its diversity and its balance. In the region of Ouargla, white scale Parlatoria blanchardi presents three generations, the most important of which is the spring generation. The estimated rate of infestation of this pest, we found that the study site (1) is more infested than site 2 and the cultivar Deglet-Nour has higher infestation rates compared to Ghars. The microclimatic factors characterizing each station contribute to these levels of infestations by the white scale. The study of the effect of the chemical composition (N, Ca, Mg, K, P, Na, total sugars and water content) and the morphological and histological structure of the leaflets on the white scale infestation rate shows that the cultivar Ghars has a higher cationic ratio (K / Ca + Mg) which contributes to this cultivar a resistance against the pest contrary to Deglet-Nour rich in Mg. The histological sections show stiffness of the epidermis of Ghars also promoting resistance against these homopterans. The inventory of the fauna associated with the mealy bug has identified 16 species belonging to 02 classes, 06 orders and 11 families. The ecological analysis of the inventoried species has shown that the highest centesimal frequencies are recorded for Cybocephalus seminillum, Camponotus sp., Pharoscymnus ovoideus and Pharoscymnus numidicus with percentages respectively of 14,97; 13,53; 12,70 and 11,57. The frequency of occurrence of the two species selected for biological control Pharoscymnus ovoideus and Pharoscymnus numidicus are respectively 56,94% and 50,69% on Deglet-Nour and 55,55% and 52,08% on Ghars. These two species are regular. The diversity of the feet of cultivars Deglet-Nour and Ghars by this associated fauna is quite important and it is in a state of equilibrium. The duration of biological cycles of the two coccidiphagous ladybirdsP. ovoideus and P. numidicusunder three degrees of temperature (24 ° C, 26 ° C and 28 ° C) is inversely correlated with this parameter. At 28 ° C, P. ovoideus completed its cycle at 34,5 ± 1,76 days and P. numidicus at 37,4 ± 0,98 days. Both lady birds species have two annual generations, one spring generation (longer) and one autumn generation. The study of voracity shows that P. ovoideus is more voracious than P. numidicus. It devours an average of 26,59 individuals / 24h of Ghars scale and 27,08 individuals of Deglet-Nour cultivar scale. Females are more voracious than males for this species. It should be noted that these species do not have any preference for food with respect to the white scale of the two cultivars studied. The biological control attempt by releases of P. ovoideus and P. numidicus on the Deglet-Nour cultivar by two doses (30 and 120 ladybirds / tree) showed that both ladybirds presented an efficiency that is positively correlated with the number of ladybirds released. P. ovoideus is always more voracious than P. numidicus with a predation rate of 32.40%. The high dose is the most significant from the diminishing of the white scale infestation.-
dc.language.isootheren_US
dc.subjectRavageuren_US
dc.subjectInfestationen_US
dc.subjectCoccinelles coccidiphagesen_US
dc.subjectPrédationen_US
dc.subjectBiotopeen_US
dc.subjectOuarglaen_US
dc.subjectPesten_US
dc.subjectInfestationen_US
dc.subjectCoccidiphagous Ladybirdsen_US
dc.subjectPredationen_US
dc.subjectBiotopeen_US
dc.subjectOuarglaen_US
dc.titleUtilisation de Pharoscymnus ovoideuset Pharoscymnusnumidicus(Coleoptera-Coccinellidae) dans une tentative de lutte biologique contre Parlatoria blanchardiTarg. (Homoptera-Diaspididae) dans les palmeraies à Ouargla (Sud-est algérien)en_US
dc.typeThesisen_US
Appears in Collections:Département des Sciences Agronomiques - Doctorat

Files in This Item:
File Description SizeFormat 
BENAMEUR-SAGGOU-Hayet.pdf3,29 MBAdobe PDFView/Open


Items in DSpace are protected by copyright, with all rights reserved, unless otherwise indicated.