Importance des rongeurs dans la région du Souf

Abstract

يهدف هذا العمل إلى دراسة تركيبة وبنية عشيرة القوارض في منطقة سوف. خاصة فيما يخص BTS( القياسات الظاهرية والعظمية، ولهذا الغرض قمنا بوضع عشوائي لأنواع مختلفة من الشراك ,المجاذيف والشراك لزجة( في سبع محطات )الرقيبة، غمرة، ورماس، اميه ونسة، حاسي خليفة، الدبيلة كذلك تم التطرق الى دراسة .)Tyto alba( والطريفاوي(، مصحوبة بدراسة النمط الغذائي لطائر البوم الاضرار التي تسببها القوارض بالنسبة الى مزارع النخيل. و لهذا دام التفخيخ 3753 ليلة تفخيخ, حيث سمح .) Dipodidae و Muridae( لنا بالحصول على 455 فرد من القوارض و الممثلة ب 10 أنواع في عائلتين 30,4 %( مع ( Gerbillinae 66,6 %( مع 3 أنواع و ( Murinae التي تمثلها العائلة الفرعية Muridae = F C( Rattus rattus 31,4 %( و = F C( Mus musculus 6 أنواع. الأنواع الأكثر اصطياد هي %78,6 (، تعد الأكثر ( Gerbillinae ،)Tyto alba( %25,3 (. فيما يخص النمط الغذائي لطائر البوم = F C( Gerbillus campestris 36,8 %( و = F C( Gerbillus gerbillus تمثيلا ولا سيما مع .)% 11,1 معظم القوارض الموجودة في الكرات والتفخيخ تنتمي إلى الفئات العمرية شبه البالغين والكبار. هذه الفئات العمرية تبدو الأكثر نشاطا. وتلك الفئات هي الأكثر عرضة لمخاطر الصيد من خلال التفخيخ ومن قبل الحيوانات المفترسة. الفئة العمرية شبه البالغة، هي الأكثر تمثيلا من حيث عدد الأفراد في النمط الغذائي .)% لطائر البوم ) 58,2 %) مقارنة بالتفخيخ ( 38,9 من خلال قيم الإنصاف، نرى أن هناك اتجاها نحو التوازن بين الأرقام وعدد أنواع القوارض المصطادة ) < .)0,73 = E( Tyto alba 0,95 ( في منطقة سوف ونفسها من أجل ما يخص النمط الغذائي للبوم E > 0,7 وتقدر الاضرار التى سببتها القوارض على النخيل فى مرحلة الازهار )جنوب شرق الجزائر(. ان المتابعة ± 63,7( السنوية )من عام 2012 الى عام 2016 ( كشفت عن اعلى معدلات الخسائر سجلت عام 2014 5,4 %(. من خلال محطات، ± 20،5( 8,0 %(. من جهة اخرى, تم تسجيل أدني المعدلات عام 2016 .) Trifaoui) % 19,9 ± و 29,7 (Wensa Miha( % 16،6 ± تتراوح الاضرار بين 39, Ce

travaille consiste à étudiée la composition et la structure des populations de rongeurs de la région du Souf, par piégeage aléatoire à l’aide de différents types de pièges (BTS, tapettes et pièges collant), est réalisée dans les sept stations d’étude (Reguiba, Ghamra, Ourmes, Miha Wensa, Hassi Khalifa, Debila et Trifaoui). Elle est complétée par l’analyse des pelotes de rejections de Tyto alba. Un offert de piégeage de 3573 nuits-pièges a permis de recenser 455 individus de rongeurs représentés par 10 espèces appartenant, à deux familles (Muridae et Dipodidae). Les Muridae sont représentés par la sous famille de Murinae (66,6 %) avec 3 espèces et celles des Gerbillinae (30,1 %) avec 6 espèces. Les espèces les plus piégées, demeurent Mus musculus (FC = 31,4 %) et Rattua rattus (FC = 25,3 %). Pour le régime alimentaire de l’Effraie, les Gerbillinae sont les plus représentés (78,6 %) dont Gerbillus gerbillus (FC = 36,8 %) et Gerbillus campestris (FC = 11,1 %) sont les deux espèces les plus remarquées. La plupart des effectifs de rongeurs retrouvés dans les pelotes et les piégés, appartiennent aux catégories d’âge sub-adultes et adultes. Ces classes d’âges chez les rongeurs, semblent plus actives. La classe d’âge sub-adulte, est très présente en termes d’individus de rongeurs retrouvés dans les régurgitats (58,2 %) par rapport à ceux notés par piégeages (38,9 %). D’après les valeurs de l’équitabilité, on note une tendance vers l’équilibre entre les effectifs et le nombre d’espèces de rongeurs piégés (0,7 < E < 0,95) dans les stations d’étude d’un part et entre les effectifs et les espèces ingurgitées par Tyto alba (E = 0,73) à Souf d’autre part. L’étude de l’impact des rongeurs sur l’inflorescences du palmier dattier a permis de mettre en évidence l’importance des dégâts dus à ces ravageurs. Ces derniers causent des pertes très variables en fonction des stations et du temps : Un suivi de cinq ans (2012 à 2016) montre que l’année 2014 (63,7 ± 8,0%) est celle qui chiffre les taux de pertes les plus élevés. Par contre les taux les plus faibles sont enregistrés au cours de l’année 2016 (20,5 ± 5,4%). En fonction des stations, les attaques sont variées entre 23,1 ± 11,3 % (Miha Wensa) et 39,7 ± 16,6 % (Trifaoui). Concernant l’évolution des attaques, les inflorescences ouvertes (29,7 ± 19,9 %) sont relativement plus attaquées que celles qui sont fermées (20,4 ± 14,9 %).