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dc.contributor.authorOULD EL HADJ, Mohamed Didi-
dc.contributor.authorDADDI BOUHOUN, Mustapha-
dc.contributor.authorHAMDANI, Mohamed-
dc.date.accessioned2019-10-30T15:15:20Z-
dc.date.available2019-10-30T15:15:20Z-
dc.date.issued2011-11-23-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/21814-
dc.descriptionDeuxième édition: La croissance des entreprises et des économies entre la réalisation de la performance financière et les défis de la performance environnementale, organisé les 22 et 23 Novembre 2011en_US
dc.description.abstractDans les régions sahariennes, caractérisées par un contexte de libéralisation de l’économie, les pouvoirs publics se sont engagés, depuis la dernière décennie, dans une politique de décentralisation de la gestion des ressources naturelles, particulièrement sahariennes. Cette nouvelle tendance s’explique, d’une part, par un constat d’échec de la gestion publique centralisée et une prise de conscience collective de la nécessité d’un développement rural durable, ce qui implique une redéfinition du rapport des pouvoirs publics avec les acteurs du développement. Elle exige aussi une plus grande participation des populations locales sahariennes. D’autre part, cette politique s’appuie sur des arguments selon lesquels, la gestion communautaire participative serait possible et efficiente sous certaines conditions. Dans ce contexte, plusieurs dispositifs de gestion communautaire sont proposés, comme la gestion contractualisée et les aires protégées volontaires. La première forme d’exploitation de ces ressources naturelles doit s’effectuer conformément à un plan de développement rural durable. Celui-ci détermine le volume global de prélèvement en fonction de la superficie et du volume maximal des ressources exploitables, le zonage d’unités d’aménagement et le mode de traitement. La deuxième forme d’exploitation qui constitue une nouvelle forme d’aire protégée, associant les communautés locales à la gestion de la zone. Elle s’appuie essentiellement sur le partenariat. A travers ces dispositifs, la participation des populations locales sahariennes en tant que parties prenantes de la gestion des ressources naturelles sahariennes renouvelables doit être effective. Mais cette gestion communautaire reste confrontée à une double difficulté, à savoir : la multitude des acteurs guidés par des intérêts divergents et la présence de nombreuses institutions suivant des logiques différentes. La présente communication analyse, dans un premier temps, les raisons explicatives du passage d’une gestion publique centralisée des ressources naturelles à une gestion communautaire participative de ces mêmes ressources, devant être respectueuse des besoins locaux du développement et de l’équilibre environnemental. Ensuite, elle vise aussi à examiner les contraintes qui caractérisent cette gestion, à savoir, celles associées à l’intervention concomitante d’un grand nombre d’acteurs et d’institutions. Cette façon de procéder nous permettra d’étudier les enjeux de la généralisation de démarches participative et communautaire pour l’ensemble des ressources naturelles sahariennes, compte tenu des principales diversités qui caractérisent les régions sahariennes.en_US
dc.publisherUniversité Kasdi Merbah Ouarglaen_US
dc.subjectGestionen_US
dc.subjectressources naturellesen_US
dc.subjectdéveloppement durableen_US
dc.subjectSaharaen_US
dc.titleGestion des ressources naturelles au service du développement rural durable en régions sahariennesen_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:8. Faculté des Sciences Economiques, des Sciences Commerciales et des Sciences de Gestion

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