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dc.contributor.authorBOUSBIA A .GHOZLANE F., LAIB M., BENIDIR M.., BELKHEIR B..-
dc.date.accessioned2013-12-19T14:25:47Z-
dc.date.available2013-12-19T14:25:47Z-
dc.date.issued2013-12-19-
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/123456789/2688-
dc.descriptionAtelier sur La Sécurité Alimentaire et l’Agriculture Saharienne Ouargla, les 15 et 16 février 2012.en_US
dc.description.abstractL’autonomie des exploitations agricoles est l’un des grands principes de l’agriculture durable afin d’optimiser les systèmes de production et d’assurer une optimisation du territoire avec le minimum d’intrants. L’utilisation excessive des denrées importées, telle que le maïs le soja, va poser le problème de la solidarité planétaire des agriculteurs. Elle renforce leur dépendance vis-à-vis d’autres zones de production. Elle accentue la spécialisation de ces dernières, qui deviennent à leur tour dépendantes du marché mondial. Enfin, elle contribue à la surproduction chronique des régions occidentales qui en retour débarrassent leur surplus sur les marchés mondiaux et découragent ainsi la production locale. Dans cette optique ce travail consiste à évaluer l’autonomie alimentaire des exploitations laitières ainsi l’impact économique de l’utilisation du concentré sur le prix de revient d’un litre de lait. Une enquête a été conduite dans vingt quatre exploitations, ceci concerne la zone nord de la région de Constantine pour faire un état des lieux des élevages au niveau de l’échelle socio territoire, sur la base de la méthode IDEA (Vilain et al., 2003) utilisée pour l’évaluation de l’indicateur « contribution à l’équilibre alimentaire mondial ». Les principaux résultats de l’évaluation de cet indicateur montrent une note maximale de 10 et minimale de 0 avec une moyenne de 4,33sur 11, cette mauvaise note s’explique par le fait que sur l’ensemble des éleveurs enquêtés n’arrivent pas à couvrir par leur production la totalité des besoins du cheptel. On trouve que 33,34 % de l’échantillon total ont une note nulle en raison de leur taux d’importation très élevé qui varie entre 61,33 et 87,5 % dû à l’incompatibilité entre le nombre d’UGB et la SAU ce qui induit les éleveurs à avoir recours excessif aux aliments concentrés au détriment l’autonomie de ces exploitations vis-à-vis à des achats alimentaires. En outre, 25 % de l’échantillon total ont une note de 4, qui est encore au dessous de la moyenneen_US
dc.relation.ispartofseries2012;-
dc.subjectLE PRIX DE REVIENT DE LAITen_US
dc.subjectL'AUTONOMIE ALIMENTAIRE DES EXPLOITATIONS LAITIERESen_US
dc.subjectLE NORD EST ALGERIENen_US
dc.titleL'AUTONOMIE ALIMENTAIRE DES EXPLOITATIONS LAITIERES DANS LE NORD EST ALGERIEN ET SON IMPACT SUR LE PRIX DE REVIENT DE LAITen_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:5. Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie

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