البعد التداولي للسخرية في الخطاب القصصي الجزائري

Abstract

La problématique de cet étude se base sur les questions suivantes : L’ironie ; a quoi sert elle ?, qu’elle place occupe l’ironie dans le discours ?, Pourquoi l’ironie dans les histoires ? Quelle est la dimension pragmatique de l’ironie dans le discours littéraire ?

L’ironie sert à dire en un condensé d’arguments ce qu’on veut dire ; soit : critiquer, évaluer, juger, argumenter, vouloir persuadé de vertus, tout cela non pas directement, mais indirectement et d’une façon ambigu.

Dans notre corpus, l’ironiste ne s’avoue pas ouvertement comme la source de la critique, de l’évaluation et du jugement, de ce fait il prend ses distances et n’assume pas la responsabilité de ses dires, et tout cela d’une manière pleine de malice. La dimension pragmatique nous a été très précieuse à savoir le rôle de l’énonciateur, et de l’énonciataire ainsi que le contexte pragmatique ; de se fait l’ironiste comme énonciateur à essayé de se sauver la face et éviter aux autres de perdre la leur.

L’ironie a aide l‘énonciateur à faire passé ses propos sans avoir peur des conséquences, à dire des choses sans qu’l soit blâmé, à transgresser la loi du silence et du tabous qui range les esprits tout en gardant une relation meilleur avec autrui.

Et comme conclusion l’ironie permet d’avoir un autre regard sur le monde, et un autre regard par rapport à la réalité, à la société et aux autres.