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dc.contributor.authorFoudil DAHOU-
dc.contributor.authorSalah KHENNOUR-
dc.date.accessioned2009-
dc.date.available2009-
dc.date.issued2009-
dc.identifier.issn1112-3672-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/6589-
dc.descriptionRevue Al Atharen_US
dc.description.abstract« Au fond, je ne me repens point. Je commettrais de nouveau ma faute si elle était à commettre. » (Stendhal) [1] La posture interculturelle exige, dans le contexte de la mondialisation-globalisation, la co-construction de savoirs attitudinaux conformes à des univers de croyance. Elle requiert par ailleurs un déploiement intellectuel qui privilégie la construction du citoyen du monde avec l’idée que l’interculturel touche à « […] la transmission culturelle et à la distribution sociale des capacités langagières dans diverses sociétés […] ».[2]Il s’agit dès lors d’interpréter convenablement les scènes dramaturgiques de l’ethos interculturel qui inondent nos consciences engourdies de tiers-mondistes en mal de développement durable -Tiers-mondistes depuis longtemps en quête du mythe de la culture originelle dans laquelle l’interculturel s’harmoniserait absolument avec l’altérité. L’altérité est un signe ; « aux signes qu’il perçoit mais ne sait pas déchiffrer, l’homme, en tous temps et en tous lieux, a voulu donner des interprétations. »[3]-
dc.language.isofren_US
dc.relation.ispartofseriesnuméro 08 2009;-
dc.subjecthallucination collective-
dc.subjectINTERCULTURALISTE-
dc.titleL'ÉÉCCHHIIQQUUIIEERR IIN TTEER CCU L TTUURRAAL IISS TE ll''aauuttrree hhaalllluucciinnaattiioonn ccoolllleeccttiivveen_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:numéro 08 2009

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