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https://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/6998
Full metadata record
DC Field | Value | Language |
---|---|---|
dc.contributor.author | S RAÏSSI | - |
dc.date.accessioned | 2008 | - |
dc.date.available | 2008 | - |
dc.date.issued | 2008 | - |
dc.identifier.issn | 1112-3672 | - |
dc.identifier.uri | http://dspace.univ-ouargla.dz/jspui/handle/123456789/6998 | - |
dc.description | Revue Al Athar | en_US |
dc.description.abstract | Notre but à travers cette réflexion est, par des "interrogations/réflexions/ hypothèses" de déblayer un des chemins qui mène au centre et à la périphérie du texte afin de "clarifier/démarquer/circonscrire" la notion de l’incipit généralement orpheline et rebelle selon M. Naturel du moins et ce, pour lever l’ambiguïté pour ceux qui viennent à la recherche par le "dévoilement/ désignation" du rôle et du fonctionnement de l’incipit au sein de la dynamique textuelle. En effet et de manière générale, l’incipit peut soit faire partie du corps du texte et jouer le rôle d’"ouverture textuelle" mais il peut aussi bien être considéré comme un texte fini, clos fonctionnant seul et indépendamment du reste de la textualité. Définir simplement l’incipit, c’est le désigner comme la partie qui ouvre l’œuvre, la débute et l’annonce. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.relation.ispartofseries | numéro 07 2008; | - |
dc.title | Pour une approche de l’incipit Un exemple d’étude Les jardins de lumière d’Amin Maalouf | en_US |
Appears in Collections: | numéro 07 2008 |
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