L’adverbe et son impact dans la presse française, Le cas des textes sur les révolutions arabes

Abstract

Nous voilà arrivé au terme de ce travail que nous aurons voulu continuer à travers des applications autres sur d’autres supports pour asseoir définitivement notre hypothèse essentielle, celle qui est contenue dans notre intitulé même et qui pose l’adverbe comme un autre centre ou le centre lui-même qui attire la phrase et lui donne sa cohérence concernant non pas ses sens et ses significations qui transparaissent naturellement mais tous les non-dits que l’adverbe introduit, annonce et cache tout en même temps. Cette hypothèse que nous avons poursuivie inlassablement tout au long de cette recherche et que nous avons appliquée sur un corpus composé de trente-quatre articles journalistiques qui disent insidieusement et de manière souvent erronée les événements qui touchent aux Révolutions arabes et ce, grâce à la puissance de l’adverbe que les grammairiens ne pouvaient plus classer à cause et en raison de ce pouvoir singulier de dire sans dévoiler comme s’il avait ce pouvoir de parler en silence.