Aptitude de développement de quelques espèces végétales des zones arides selon différentes situations hydriques (simulation de la pluviométrie)

Abstract

ركز العمل الحالي على دراست قذرة الضهىر على بعض األوىاع المعمزة الخيي يهضمها الجمل وفق مخخلف أوماط المذخالث مه إمذاداث المياي. طبقىا أربع طزق إلمذاداث المياي وهي:100 CC ٪ مه مذخالث ؛ في 75CC ٪ ؛ في50 CC ٪ والمذخالث محاكاة هطىل األمطار مه الصحزاء الشماليت. أظهزث الىخائج الخي حم الحصىل عليها أن أفضل كميت مياي حم حسجيلها لضمان ظهىر جيذ هي 100٪ مه سعت الحقل لبعض األوىاع الخي حمج دراسخها. وبالخالي، فإن إمذاداث المياي بىسبت 75 ٪ و 50 ٪ مه سعت الحقل أعطج معذالث ظهىر مقبىلت. يعذ حزويذ مياي األمطار المحاكاة الطزيقت األقل فعاليت إلوباث البذور لألوىاع الخي حمج دراسخها.

The present work has focused on the study of the ability of the levy of some perennial species browsed by the dromedary according to different modes of water supply. We applied four modalities of water supply namely: 100% CC input; at 75% CC; at 50% CC and a simulated precipitation input from the northern sahara. The results obtained showed that the best water intake recorded to ensure a good emergence is that of 100% of the capacity in the field for some of the species studied. Thus, water supplies at 75% and 50% of the field capacity gave acceptable emergence rates. Simulated .rainfall water supply is the least effective modality for seed germination of the species studied

Le présent travail a porté sur l’étude de l’aptitude de lévée de quelques éspèces vivaces brouteés par le dromadaire selon différentes modalités d’apport d’eau. Nous avons appliqué quatres modalités d’apport d’eau à savoir : l’apport à 100% CC ; à 75% CC ; à 50% CC et un apport simulé des précipitations du sahara septentrional. Les résultats obtenus ont montré que le meilleur apport hydrique enregistré pour assurer une bonne levée est celui de 100 % de la capacité au champ pour un quelque d’espèces étudiées. Ainsi, les apports hydriques à 75% et à 50% de la capacité au champ ont donné des taux de levée acceptables. L’apport d’eau simulé des précipitations apparait la modalité la moins efficace pour favoriser la germination des graines des espèces étudiées.